Bonjour à tous, je suis la concierge de cet hôtel, il est de mon devoir de tout savoir et de tout voir alors une petite présentation je vous pris ! Tout d'abords donnez-moi votre nom que je vous inscrive dans le registre... Alvérize Blythe Flaherty ? Très bien, votre chambre sera la Numéro de chambre et combien de temps comptez vous rester ? Aucune idée ? Et bien tant mieux ! Maintenant je voudrais en savoir plus sur vous car je suis curieuse, donc vous êtes âgés de 21 ans ? Hum... un peu jeune, mais que dis-je ? Vous êtes né(e) le trente avril à Los Angeles, intéressant ! Et puis-je savoir ce qui vous a fait venir dans mon hôtel ? Prendre un peu de recul face au refus du mariage. Très très bien, et on va dire encore deux ou trois questions histoire que je vous connaisse par cœur, quelle est la célébrité de votre avatar ? Frida Gustavson Magnifique, et qui as créé la magnifique bannière que vous avez mis plus haut ? Tumblr et pour finir, de quel groupe faites vous partis ? Aigle royal Merci merci beaucoup d'avoir choisit Nom de l'hôtel pour votre séjour ! Nous espérons que vous vous amuserez parmi nous. Ah oui, et évitez de passer par le couloir du fond du quatrième étage le soir, ceux qui y dorment ne sont vraiment pas discrets si vous voyez ce que je veux dire.

Alvy est une jeune femme discrète, calme et posée, qui a toujours obéi à ses parents au doigt & à l'oeil. Elle ne voudrait pour rien au monde les décevoir. Alvy est née dans une famille aisée, et est également fille unique mais elle n'a en rien hérité du comportement de pourrie gâtée que toutes les autres filles riches pourraient avoir. Elle est, par contre, très possessive et facilement jalouse envers les autres, au point d'en être assez boudeuse. Mis à part ça, on dit d'elle qu'elle est une femme de confiance, sensible quand il le faut, et séductrice, enfin, juste un peu. Mais en ce moment, la belle Alvy n'a qu'une personne en tête, Jules son futur mari. Au départ, ils n'étaient qu'amis et totalement opposés à ce mariage forcé. Mais le destin a fait que Alvy tombe follement amoureuse de Nathanaël subitement. Depuis, elle fait tout pour qu'il l'aime réciproquement, mais rien y fait, il reste insensible. Alors elle souffre, en silence, ne dit rien à personne, mis à part sa meilleure amie, Octber, qui sait absolument tout d'elle.

Hello ! Moi c'est Clélia, je joue Alvérize et je suis la ptite nouvelle dans le staff. (a). Vous pouvez me retrouver en tant que créatrice sur Bazzart avec pour pseudo yellowsubmarine™. J'ai quinze ans, et toutes mes dents. Nan, j'avoue c'est nul de dire ça (a). J'habite en France dans le nord. Et je le vis bien xD J'entre en seconde cette année. Et je pratique la danse, le tennis et je vais faire du théâtre. On s'en fout, je sais. Sachez aussi; je déteste les maths et la chimie. C'est pourquoi j'vais m'orienter vers des études littéraires (a). Sinon, je suis absolument fan de BUFFY ♥ (et du couple Buffy/Spike, détail à ne pas négliger); sinon j'adore Gossip Girl, 90210, Glee, TVD, Desperate Housewives, Grey's Anatomy et... Secret Story ! (a) J'avoue, c"est débile, c'est con, c'est rempli d'idiots, mais je ne peux pas m'empêcher de regarder. Surtout qu'il y a pas mal de beaux gosses, la dedans. Niveau films... Les films d'horreur ! J'ai pas mal aimé Scream, Piranha, Esther, The Grudge et pas mal d'autres, et sinon j'adore Je vais bien ne t'en fais pas, Jeux d'enfants, Pirates des Caraibes, de l'eau pour les éléphants et pas mal d'autres encore. Une chose à savoir : je haie au plus haut point Twilight & Harry Potter, j'accroche vraiment pas. Niveau musique, j'écoute les Rolling Stones, The Beatles, Lady Gaga, Adam Lambert; Shwayze; The Sounds. Mais j'aime pas mal d'autres trucs, ça serait trop long à citer. Je suis mariée aux dieux Somerhalder & Tortorella Ils juste trop beaux quoi. Sinon mon actrice préférée est Sarah Michelle Gellar, mais j'adore Hayden Panettiere, Leighton Meester et Jessica Szohr aussi. Niveau mannequin, je craque pour Jessica Stam, Frida Gustavsson & Anne Marie Van Dijk Bon voilà voilà, sinon a par raconter ma vie je sais répondre à vos questions, administrer, et je maitrise les codes css (a) donc n'hésitez pas. Je vous aime.

« J’ai menti, ce n’est pas vrai, notre histoire n’est pas encore terminée. Je ne veux pas, je ne veux pas et c’est humiliant parce que je suis là à supplier. Ton choix est très simple. C’est elle ou moi. Et je suis sûre qu’elle est vraiment super. Mais Derek, je t’aime vraiment. Tu sais, vraiment, vraiment au point de prétendre adorer ton genre de musique, te laisser manger la dernière part de gâteau, tenir une radio à côté de mes oreilles en chantant sous tes fenêtres... Malheureusement ce qui fait que je te déteste fait que je t’aime aussi. Alors prends-moi. Choisis-moi. Aimes moi... »

Cher journal;

La vie, c'est con. La vie, c'est un jeu ou nous ne sommes que des pions, ou on peut se faire renverser en une seule secondes. Je hais la vie, je hais tout le monde en cet instant même. Tu sais pourquoi ? Je vais me marier.

La vie ne nous donne jamais ce que l'on veut, c'est bien connu. Quand on veut, on peut. On a beau dire, moi je veux, mais je ne peux pas. Je n'y arrive pas. Je vais me marier. Chouette nouvelle. Tu parles. C'était lors d'un diner. Je finissais de manger mon dessert, assise en face de Nathanaël, à côté de ses parents. C'est là qu'ils ont annoncés la nouvelle. "Jules, Alvérize, vous allez vous marier." Bruit de cuiller qui tombe à terre. Un "Quoi ?!" sort de la bouche de Jules. Nos regards se croisent, et là, silence complet.

Le lendemain, on a tout fait pour convaincre nos parents respectifs. Rien à faire, que dalle, nada, nothing. C'était niet. Ils voulaient que l'on se marie. On a essayé longtemps de les convaincre. Tous les jours pendant au moins cinq mois. Après on s'est fait à l'idée. Plus ou moins.

C'est après que vient le plus difficile, je me souviens même encore dans quel contexte c'est arrivé. J'étais avec Nath, assise sur un banc, à papoter, de tout et de rien, surtout du mariage. Jules me parlait, mais moi, j'écoutais peu, j'étais très peu concentrée sur ce qu'il me disait. Je sais : c'est pas bien. Mais faut dire que tout ce qu'il disait, il me l'avait déjà répété une bonne centaine de fois. Non, moi pendant ce temps, je pensais. J'observais Jules. Ses lèvres, ses cheveux, ses yeux. Et j'ai fini par me demander si je n'étais pas amoureuse de lui. Bien sûr que non.

Cette question m'a hantée pendant des semaines. Jules et moi, on s'était déjà embrassé. Sur la bouche. Je ne me souviens plus de la sensation que j'ai ressenti à ce moment là. Faut dire aussi, j'avais six ans. Enfin bref.

Un soir d'octobre, nos parents parlaient affaire (oui, les Cooper passaient beaucoup de temps chez nous, ça a toujours été comme ça). Jules et moi, on était dans ma chambre. Il faisait les cent pas, en pétant un câble parce que nos parents cherchaient une date convenable pour l'évènement. Moi je le regardais clignant des yeux, assise sur mon lit.

Soudainement, je le voyais arriver brusquement vers moi. Il m'a attrapée et embrassée. Tellement violemment, je ne m'y attendais même pas. C'était passionné. Un baiser, tel ceux au cinéma. Mais j'étais comblée de bonheur, pourquoi, je n'en sais strictement rien. Puis, j'ouvris les yeux. Horreur.

Rien de ce que je venais d'imaginer ne s'était produit. Il était encore là, à marcher péniblement, faisant claquer ses chaussures sur le sol; ça n'était que le fruit de mon imagination. Un scénario que je venais d'imaginer. C'est là que j'ai compris que je venais de tomber subitement amoureuse de Jules. Mon futur mari.

Après ça fut plus dur. Surtout la fois ou je lui ai dit que je l'aimais. Il m'a pratiquement engueulé, comme quoi c'était déjà assez difficile comme ça. J'ai pleuré, et il a du m'enlacer pendant deux bonnes heures pour me réconforter. Une fois, il m'a même dit qu'il m'aimait, mais je sais bien que tout ça, c'est faux, qu'il dit ça pour arranger les choses. Je sais bien qu'il ne ressent rien pour moi. Mais je l'aime quand même.

Ainsi va la vie. Qu'elle merde, cette vie. Tu trouve pas, toi ? Dans quelques mois, aura lieu mon mariage. La seule personne sur qui je peux vraiment compter, c'est moi même.

Bon cher journal, je dois te laisser, je suis fatiguée. Je t'écrirais probablement demain. Je sais, c'est débile de te parler comme ça, mais à qui veux-tu que je raconte tout cela ? Bon, allez.

Alvérize Flaherty
Le vingt-quatre septembre .